Qui suis-je ?
" C’est Edith ! "
Voilà un aphorisme qui pourrait bien résumer à lui seul ma singularité: un capital sympathie à la hauteur du capital chaos. Rassurez-vous, une fois que tout est rationalisé, une logique complexe, certes, mais juste est toujours trouvée.
Je suis là, présente, j’écoute pour de bon. Sans jamais juger. J’interroge une situation sous différentes perspectives. Je laisse l’autre être et s’exprimer sans pour autant être d’accord avec lui.
Quoi qu’il en soit, je suis orienté solutions: à quel niveau est-il possible d’agir? Comment ?
La recherche est lancée et mon imagination fertile me permet de faire des liens souvent inattendus et créatifs. Utile!
Dynamisme, spontanéité et sourire sont souvent les éléments que vous retiendrez de moi
Ce que je fais ?
Je raconte des histoires vraies et humaines, sans prétentions.
Toucher la mort du doigt en mai 2020 m’a fait prendre conscience de la simplicité et de la puissance de ce qui m’anime : je veux rencontrer des être humains passionnés, résilients, animés et avoir des discussions enrichissantes et constructives. Au mieux, je veux les mettre en valeur, aider à révéler la beauté d’un geste ou d’un projet, au minimum, je voudrais contribuer à les partager, les diffuser.
Je veux simplement éveiller et éduquer les consciences aux relations humaines bienveillantes, épanouissantes et respectueuses pour aider les humains à se reconnecter à eux même, entre eux et à la nature.
Pour y parvenir : J’écoute. J’observe. Je cerne. J’interroge. J’interprète. Je saisis les émotions. Je mets parfois le doigt sur ce qui dérange. Je fige l’instant sur une image. Je le retranscris avec des mots ou dans un montage sonore.
Qu’importe l’histoire que votre entreprise choisit de raconter, je prône toujours une communication vraie et authentique parce qu’elle sera cohérente sur le long terme.
Comment ?
Mes valeurs
Mon histoire
La résilience est un trait de caractère, une force que la vie s’est chargée de me faire développer.
Aujourd’hui, j’ai la capacité de m’adapter, de persévérer et de trouver ce qui est nécessaire pour atteindre un objectif fixé. Des moments charnières ont forgé ma détermination, ma passion et mon enthousiasme pour cette entreprise qu’est Unuopa.
Enfant un peu différente, les yeux plissés perdu en l’air, toujours une question à la bouche, j’ai grandi dans une ferme. C’est avec les valeurs nobles de la paysannerie que j’ai été éduquée. Cette première vie au grand air a ancré mon rapport au temps, aux saisons et mon lien vital avec la nature. Je l’ai transmuté en une conviction qu’avec le temps, tout fini par passer, le mauvais comme le bon.
Pendant mes études en communication à la Helha, la découverte de la radio, mon premier amour, a ouvert l’univers des possibles: ma curiosité de tout, l’intérêt des histoires de chacun, les sujets à trouver, les interviews à mener, les montages, les coulisses, les présentations en direct,… tout était à portée de voix.
Le positif s’enchaîne. Je remporte le prix de la presse écrite de la Belgodyssée au Palais Royal. Les stages sur Vivacité et La Première se poursuivent avec des piges.
Et puis, la photographie arrive un peu par nécessité. En plein élan radiophonique, un long processus de chirurgies dentaires m’oblige à trouver un nouvel outil pour garder cette énergie de l’élan vers l’autre, de l’intérêt du prochain sujet, de la rencontre à venir. L’IHECS et son local photo ont fait naître l’engouement pour cette nouvelle voie. Mon premier contrat officiel sera de couvrir la première masterclasse de la Belgodyssée pour la Fondation Roi Baudouin, en présence du Roi. Depuis 12 ans, je suis membre du Pool de Production extérieure de la Fondation en tant que photographe. Et pendant 10 ans, j’ai sillonné les routes de Wallonie l’été pour couvrir le Beau Vélo de Ravel (émission radio et TV sur la RTBF).
À 25 ans, quand maman décède, une deuxième vie commence. Plus dure. Plus seule. Plus pesante. Je dois reprendre la ferme, m’occuper d’un papa malade et d’une famille troublée.
Les «anni horribiles» se succèdent.
Mai 2020, le Steven Johnson (réaction allergique à un médicament) brûle au deuxième degré 30 % de ma peau et la totalité de mes muqueuses. Les souffrances sont atroces. Et pourtant, une nuit, alors que je touche la mort du doigt, je choisis de me battre. Je choisis de survivre. Je tiens le coup, une seconde à la fois.
Je décide qu’une troisième vie est à vivre et que je vais la construire pour moi. Ça prendra le temps qu’il faudra. Pendant ce long processus de rétablissement, je me plonge dans l’élaboration d’un projet professionnel pour me donner la force de continuer et de m’accrocher. Après beaucoup d’expérimentations, je fonde Unuopa, traduction en Espéranto du mot: Singulier.
"Je veux vivre et être fièr.e de ce que je fais."
Unuopa prend donc sa source dans ma métamorphose personnelle. Je nourris ce projet d’une multitude de sens et d’engagements. Deux constats m’ont poussés à choisir le tracé du chemin que j’emprunte aujourd’hui:
Chaque individu mène un combat entre son authenticité et l’illusion de prestige social. Or ce dernier ne repose sur rien de profondément réel et entraîne de multiples malentendus sur soi et sur les autres.
La solution de ce conflit est une communication la plus juste possible.
Dans ce monde où rien ne va plus, la question du choix est fondamentale : maintenant, je choisis d’agir. Selon mes convictions. Avec mes compétences. À mon niveau. En faisant ce que j’aime faire et en le faisant bien. Pour contribuer au développement des entreprises locales.
Les projets qui me touchent sont ceux qui font sens:
- les durables qui s’inscrivent dans une démarche respectueuses de la nature et des être humains;
- les artisanaux qui montrent les savoir-faire, manuels, terriens;
- les éthiques qui intègrent des réflexions et assument les conséquences de leurs choix dans leurs lignes de conduite;
- les émouvants et enthousiastes qui sont animés par une passion.
Si vous êtes parvenu à lire jusqu’au bout, bravo et merci.
Pour ceux qui ont le désir de faire appel à mes services, discutons-en lors d’un premier rendez-vous ‘découverte’ de 30 minutes
